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Le mariage est aussi nocif que la cigarettes... et tellement plus cher

d'après Oscar Wilde

avec Hélène Laurca, Carole Brossais, Laurence Bret et Laurent Thémans

Au travers d’extraits du "Mari Idéal" de "L’importance d’être Constant", d’ "Une femme sans importance", de "l’Eventail de Lady Windermere" et des "Aphorismes", nous avons tâché de mettre en relief l’art d’Oscar Wilde qui fut la quintessence de "l’Esprit Anglais."
Le spectateur est témoin des rencontres successives de Constant et de Cecily Cardew, qui, comme Oscar Wilde aimait à les créer, conversent à bâtons rompus, souvent pour la simple beauté du geste, comme les mondains de son théâtre.
Quel régal pour un metteur en scène, de souligner la tournure d’esprit de Wilde qui, héritier de sa mère, prônait cette maxime : "Il n’y a qu’une chose au monde digne d’être vécue, c’est le pêché."

Préambule
Ange au regard chaud, Oscar Wilde fouille les sens pour y pétrir la vie.
Dès sa prime jeunesse, il se révèle très différent des autres enfants, méprisant les exercices violents, et physiques mais sachant briller par le verbe. Il vécu pour l’art et la poésie et fit de son existence un hymne à la beauté. Dès l’enfance, à travers le sort malheureux de ses parents, il vécu les procès, les provocations et les extravagances. Il ne fit, tout au long de sa vie, que parachever l’œuvre parentale, allant au plus loin dans l’excentricité, l’esprit, le scandale et le malheur. Sans cesse, il recherche la beauté dans un monde absurde et sans génie.

Aujourd’hui, les scandales qui le crucifièrent sur la Golgotha de l’honorabilité, se sont éteints ; il reste une œuvre fourmillant d’une esprit sarcastique, parfois douloureux, toujours acerbe.
Une œuvre puissante qui éblouit de la trop vive lumière de la vérité.

Déja créé et disponible à la vente

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La presse est unanime...

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Article paru dans l'édition du 3 mai

Avec 2 coeurs de jean luc Jeener !

Le journal quotidien du spectacle vivant

Le bulletin bimestriel de la société Oscar Wilde.

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